When I woke up this after moon ...[et autres jeux de mots douteux]

Invité

I know i felt uneasy..
6h53 retentissait. Ou plutôt la voix d'un petit monstre ayant bondi sur son lit retentissait. Un poids plume il est vrai mais lorsque celui ci se met à vous hurler dans les oreilles "il est 6h50 tu est en retard, lêve toi sac à patate!" tout devient relatif.
" Crystal, tu veux pas aller réveiller papa et maman plutôt? "
Le petit monstre secoua la tête. Il s'agissait d'un non fortement prononcé...Elizabethse dressa sur ses coudes afin d'attaindre la position assise. Là, elle regarda fixement la masse informe assise au bout de son lit.
"C'est bon , je suis réveillé sa te vas , tu peux aller faire chier quelqu'un d'autre .."
Crystal quitta la pièce aussi vite qu'elle était venue. Lily en profita pour rejeter les couvertures à ses pieds. On était lundi matin, il était 6h59 et elle allait effectivement être en retard pour son premier jour de cours à Constance Billard le célèbre institut pour jeune fille comme le definissait sa mère. Heureusement celle-ci avait été prévoyante, connaisant les tendances marmottes de sa fille elle l;ui avait déposer son uniforme, des sous vetements, des chaussures, des chaussettes, un sac, des boucles d'oreilles, un collier, des bracelets. Bref elle avait penseé à tout dans les moindres details. Après tout on est rédactrice de la rubrique tendance jusqu'au bout ou on ne l'ai pas du tout. Néanmoins Elizabeth avait parfois l'impression d'être une vraie poupée barbie aux yeux de sa mère.
Elle enfila le petite attiralle présent sur sa chaise; il fallait l'admettre le résultat était plutôt satisfesant. Enfin il faut plutôt dire magnifique mais bon c'est une chose qu'elle n'admettra jamais.
Lily sortie de sa chambe en trombe, traversa sans un mot l'appartement salua rapidement sa mère et passa la porte.Sa y est sa journée commençait, sa nouvelle vie pouvait démarer.

SERENA

Merde, Merde, merde... MAMAN! TU PEUX APPELER UN TAXI STEUPLAÎT?! JE SUiS A LA BOURRE!

LILY VAN DER WOODSEN

Les lignes sont occupées ma chérie, je n'arrive pas à en joindre un.

ZBAM*

L

es pieds de la belle blonde se prirent magistralement dans le tapis qui se trouvait au milieu du salon des Van der Woodsen. Cette chute plutôt comique valut un petit rire amusé de la part de la mère de Serena. Se redressant tant bien que mal, cette dernière s'aida de l'accoudoir du fauteuil de cuir pour se relever sur ses escarpins noirs. Vêtu de son éternel uniforme de Constance Billard, telle une mannequin qui aurait prit une cuite monumentale, Serena Van der Woodsen se dirigea vers l'ascenseur qui la ménerait sur la cinquiéme avenue. Sa chemise trop grande, ses cheveux blond flottant au vent, ayant ainsi une ressemblance frappante avec une crinière, sa jupe marron lui arrivant aux genoux et son sac sur l'épaule, Serena courait du mieux qu'elle pouvait vers Constance Billard. L'idée de revoir tout le monde ne lui déplaisait pas vraiment mais ne la rendait pas euphorique pour autant. Elle savait ce qu'elle allait devoir affronter. Gossip Girl avait bien évidemment annoncé à tout l'Upper East Side qu'elle était de retour. Et les ragots allaient tombés. C'était inévitable. Aussi bien sur son retour imprévu que sur son départ précépité. Un immense soupir s'échappa de la gorge de Serena. Elle s'arrêta. Le souffle lui manquait. Elle n'avait pas pris de petit déjeuner et se sentait faible. Les mains sur ses genoux et le dos courbés, S. regrettait de ne pas avoir été plus performante en cours d'endurance. Les aiguilles de la montre de la jeune fille tournaient, et elle ne tarda pas à repartir comme une fléche, évitant de peu quelques passants étonnés de voir une jeune fille aussi pressée. Le temps était doux, quoi qu'un peu nuageux. Le vent se levait calmement, relevant ainsi quelques méches d'or de la belle blonde. Au virage c'est bon, elle y serait. Plus que quelques mètres avant d'entendre les bonjours hypocrites, voir les sourires sadiques et entendre les ragots pathétiques... Malgré cette image peu positive qui trottait dans l'esprit de la jeune fille ne ralentissa pas pour autant son pas pressé

ZBAM*

E

lle avait tourné... Et étant donné la chance de la jeune fille, elle s'était pris quelqu'un au virage... Grâce à Dieu, Serena ne perdit pas l'équilibre, elle fit seulement tomber son sac et quelques livres au passage. Devant elle se tenait une jeune fille, plutôt petite par rapport à elle mais qui masquait parfaitement sa petitesse à l'aide de talons. Serena lui accorda un sourire en signe d'excuse et se baissa pour ramasser ses livres ainsi que son sac. Tout en se baissant, elle commença à s'excuser.

SERENA

Excuse moi, je suis tellement stressée que je ne sais même plus où je mets les pieds. J'espère que je ne t'ai pas fait mal au moins.

S

. releva la tête vers la jeune fille et revint en équilibre sur ses escarpins.

SERENA

Je ne t'ai pas fait mal au moins?

Invité

Elizabeth eu un léger sourire, ce n’était que sa première journée ici et on la bousculait déjà. Elle n’en conclu qu’une chose, la vie New-yorkaise était quelque peu mouvementé. Il est vrai que leur choc avait été brutale. Cependant et forte heureusement Lily n’avait rien, ce qu’elle s’empressa de faire remarquer à la jeune fille qui venait de la bousculer.

ELIZABETH« Sa va, je n’ai rien de cassé, enfin je crois… »

Lily releva la tête et découvrit une jeune fille qui devait avoir son âge, de grande taille. Elle avait de long cheveux blond à la fois coiffé décoiffé qui avait sur elle un aspect rock’n’roll très glamour. Elizabeth remarqua notamment qu’elle portait un uniforme, bien que celui-ci soit peu conventionnel. Elle devait elle aussi se rendre à Constance Billard, ce qui était un bon point étant donné qu’Elizabeth était quelque peu perdu. Qui avait bien pu avoir l’idée d’appeler les rues avec des lettres ? Architectes en manque d’inspiration ? Elle commençait malgré elle et tous les efforts de bonne volonté dont elle avait tant bien que mal fait preuve, sa vie à l’Ecossaise. Elle avait du quitter tous ses amis et Edimbourg pour New York en famille. Un rêve pour certains, mais dans son cas elle le percevait plutôt comme un vrai cauchemar, un supplice imposé par un dieu auquel elle ne croyait même pas. Trop de débauche peut être ? Ou bien trop de vertu…Lily était une personne mêlée d’opposition.

Elle se baissa légèrement afin d’aider la jeune New-yorkaise à ramasser les quelques affaires qui était tombé de son sac pendant la collision, un téléphone portable dernier cri, un gloss, un carnet et autres bibelots s’était étalées par terre au milieu des livres. Pas de doute elle avait à faire à une jeune fille venant de l’upper east side.

ELIZABETH« je suis désolé mais je suis un peu perdu, tu ne saurais pas ou se trouve le lycée Constance Billard ? »

Elle avait levé la tête en direction du visage de la jeune fille avec qui elle était entrée en collision dans l’attenante d’une réponse.